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La seconde guerre mondiale

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gege6220

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je m'appelle gérard et je suis passionné par l'histoire et plus particulièrement par l'histoire de la seconde guerre mondiale ce blog n'est nullement idéologique, mais il représente mon devoir de mémoire personel

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Le réseau Saint-Bernard

Le réseau saint Bernard.
En septembre 1940 le « service saint Bernard » prend naissance, plusieurs membres de la future armée secrète y jouent un rôle de premier plan.
L'impulsion vient de France, l'action à pour but initial d'aider les soldats français évadés. Le plan consiste à les dissimuler dans des wagons plombés en transit à travers notre pays et arrivant de divers lieux hors frontières (Luxembourg, Allemagne, Maastricht, via Liege, etc...).

Des noyaux de ce réseau fonctionnent à Treignes, Erquelines, Montigny-formation, Marchienne-St-Martin, et Charleroi.
L'action compte quatre phases différentes : un certain nombre de membres du réseau ont pour mission de détourner l'attention des gardes allemands lors de l'arrêt des trains. Un second groupe ouvre, à contre-voie, les portes vissées des wagons dont les numéros ont été communiqués au préalable. Les évadés sont amenés dans les dépendances de la gare ou dans des wagons vides à proximité. Après le départ du train, ils sont conduits dans des lieux d'hébergement amis.

Ils y sont nourris, peuvent se débarbouiller, leurs vêtements militaires ou d'évadés sont brûlés et remplacés. Beaucoup de résistants y sacrifient leur garde-robe, c'est pourquoi de la toile fournie par l'occupant pour occulter les locomotives est dérobée et transformée en « bleu » de travail. Des coffres, mi-bois mi-métal, comme les cheminots en portent à l'épaule pour emporter leur casse-croûte, sont fabriqués dans les ateliers à la barbe de l'occupant.

Muni de brassards d'agent des chemins de fer, les prisonniers de guerre seront acheminés dans cette tenue vers la France, dissimulés sur une locomotive ou son tender. Les évadés sont munis de fausses cartes d'identité, faux permis de travail, cartes de légitimation, etc...Après la frontière, ils sont confiés à un autre maillon du réseau. Près de 9.000 hommes, dont un certain nombre d'aviateurs alliés, empruntera cette voie pour l'étape suivante. Beaucoup, en fin de parcours, reprendront leur place dans les rangs des combattants.

Sources : il y a trente ans... la libération de Charleroi par André NEUFORT aux éditions des établissements DUFOUR Manage 1974.
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#Posté le dimanche 29 janvier 2006 11:59

Et pourtant le haut commandement était au courrant!!!!!

La Belgique obtient accidentellement les plans d'invasion allemands.

Le 11 janvier 1940, Keitel signe un ordre de l'OKW qui fixe le "jour A" au mercredi 17. L'heure Z sera "quinze minutes après le lever du soleil à Aix-la-Chapelle, c'est à dire à 8h16".
Les mots d'ordre Rhin ou Elbe seront donnés, selon les circonstances atmosphériques, au plus tard le "jour A" +1, à 23 heures, Rhin signifiant attaque et Elbe, ajournement.
Il faut un incroyable épisode rocambolesque (que raconta avec talent Jean Van Welkenhuyzen dans la revue d'histoire de la seconde guerre mondiale) pour faire remettre le "jour A" à plus tard.

Le 10 janvier, par une matinée brumeuse et glaciale, à 11h30, en Belgique, près de Mecheren-sur-Meuse, un petit avion de tourisme s'écrase sur deux arbres, le moteur s'encastrant dans une haie. Les soldats du poste frontière voisin, accourant aussitôt, découvrent deux hommes en long manteau gris, l'un s'activant à brûler des papiers. Les soldats bondissent sur ce dernier individu et éteignent les documents enflammés. Le corps de garde identifie vite les deux hommes comme étant deux officiers allemands. Ceux-ci donnent d'ailleurs leur identité: major de réserve Hoenmanns, pilote, major d'active Reinberger. Ils disent s'être égarés, ils se sont trouvés en panne d'essence en plein brouillard. Ils ne savaient pas qu'ils volaient au-dessus de la Belgique et demandent de prévenir de l'accident, sans plus attendre, l'ambassade allemande.
Vient tout à coup une scène étonnante. Un poêle en fonte ronfle dans un coin, brusquement Reinberger, qui semblait sommeiller affalé sur une table, se dresse, arrache le couvercle du poêle et jette au feu les papiers négligemment laissés par les Belges sur un meuble. Le capitaine-commandant Rodrigue, bondissant, ne réussit à arracher les documents aux flammes qu'en se brûlant grièvement les mains, "vous êtes bien allemand", grogne-t-il.
Pire: Reinberger se précipite sur le revolver de l'officier belge. Rodrigue doit le lui arracher des mains. "Sale boche!" Fait-il. On voit l'Allemand, comme désespéré, se frapper la tête contre le mur. "Je ne voulais pas tirer sur vous, dit-il à Rodrigue, je suis un homme fini. Je voulais me suicider. « Pardonnez-lui, dit Hoenmanns, c'est un officier de métier.
On ne saurait pourtant mieux attirer l'attention sur l'importance des papiers. Les Belges font ainsi venir des officiers de l'état-major général, qui pourront compulser ces documents.

Ahurissement général : ces papiers décrivent une prochaine offensive de vaste envergure au travers de la Belgique, avec enlèvement des forts de Liège et saisie des ponts de la Meuse dans la région de Dinant par la 7ème division de parachutistes. Date prévue : le 17 janvier, à peine sept jours plus tard.
Et on en apprend vite d'avantage sur l'équipée des deux accidentés. Ils ont fait connaissance la veille au soir au casino des officiers de Munster. Ils y ont honoré le schnaps plus que de raison. Hoenmanns, pilote de la grande guerre, dit à l'officier d'état-major Reinberger qu'il part le lendemain matin pour Cologne à bord d'un avion de tourisme Messerschmitt Taifun. Reinberger s'y invite, Hoenmanns est d'accord. Mais Reinberger viole une consigne stricte, celle qui interdit à tout officier d'état-major d'emprunter la voie aérienne s'il est porteur de documents secrets. Or, rien ne saurait être plus secret que les ordres qu'il porte à sa 7ème division. Sans doute aura-t-il trouvé les trains de guerre trop encombrés ou peut-être avait-il à Cologne un rendez-vous galant ? Quoiqu'il en soi, il ne résiste pas au plaisir de voler. Par malheur pour les deux lurons, le brouillard les surprend au-dessus de la Ruhr. Ils tournent en rond, finissent par manquer d'essence, découvrent dans une éclaircie un fleuve qu'ils croient être le Rhin et se pose en catastrophe. Le Rhin, c'était la Meuse ! Ils n'ont même pas d'allumettes pour brûler les papiers, ils doivent en emprunter à un paysan qui ne parle pas un mot d'allemand. A peine ont-ils fait flamber une allumette que les soldats belges surviennent.

L'ambassadeur téléphone à Keitel, qui avertit Hitler. Autre colère énorme du Führer. « la plus forte tempête que j'aurai vue de ma vie », dira Keitel. Hitler vocifère durant plus d'une demi-heure, la bave aux lèvres, maudissant tous les traîtres et tous les incapables de l'état-major. Brauchitsch doit entendre siffler ses oreilles. On réuni immédiatement les principaux généraux. Deux solutions s'offrent : ou attaquer sans délai, avant que l'ennemi ait le temps de prendre des mesures de défense ; ou ajourner l'attaque afin de refaire le plan en possession des belges. « Je vai réfléchir », décide finalement le Führer.

Reste néanmoins à connaître le plus beau de l'histoire : les Français croient à un coup monté.

Dans l'après-midi du 11 janvier, le général Van Overstraeten, conseiller militaire du roi et vrai chef de l'armée belge, fait rapport sur le sujet à Léopold III et au général Denis, ministre de la guerre. Ils décident de prévenir Gamelin. A 17h15, ils convoquent au palais le colonel Hautecoeur qui fait la liaison avec le généralissime français. On lui montre les documents, même si les belges ne révèlent pas de quelle manière ils les ont saisis. On se limite à lui donner une note de deux pages. Ils lui disent avoir d'autres renseignement qui recoupent la même vérité : le 26 décembre, Ciano, s'appuyant sur une dépêche de son attaché militaire à Berlin, a prévenu les ambassadeurs belge et hollandais à Rome de l'imminence d'une attaque par la Belgique (durant une courte période où le Duce est en froid avec le Führer). Le 30 décembre, Ciano, toujours lui, a donné le même avertissement à la princesse Marie-José, épouse du prince héritier italien, en lui demandant d'alerter son frère, le roi Léopold III. Le 2 janvier, Ciano récidivait, prévenant l'ambassadeur belge comte de Kerchove de Denterghem. Le 6 janvier, un avertissement de même nature arrivait du Vatican, un autre de Suède. Mais cette fois, avec ces documents de la 7ème division, c'est du très très sérieux !

Mis au courrant dans la nuit par Hautecoeur, Gamelin tient conseil officieux à son QG de Vincennes le 12 au matin avec Georges, Doumenc et quelques autres officiers des trois armes. Le colonel Rivet, du 2ème bureau, est plutôt sceptique ; ils refusent de prendre l'incident au sérieux ; ils estime que le but allemand, très clair, est de nous affoler, de nous attirer en Belgique pour nous faire accuser, nous, de la violer ; « un truc », juge l'officier le plus malin. Gamelin se limite à envoyer l'ordre d'alerte N°1 au groupe d'armée de Billotte et à l'armée de Condé. Billotte prenant de nouvelles positions de manière à pouvoir entrer en Belgique dès l'appel du roi. Il n'en reste pas moins que, dans le même temps, le Führer, après avoir cassé le commandant de la 2ème flotte aérienne, le général Helmuth Felmy, et son chef d'état-major, Josef Kammhuber, qui n'y sont pourtant pour rien, décide de maintenir son ordre d'attaque à la date prévue, le 17 quinze minute avant l'aube.

Le 13 janvier, tandis que Gamelin inspecte des troupes à Verdun, le général Laurent, attaché militaire français à Bruxelles, est saisi d'un identique avertissement par le colonel Sas, attaché militaire hollandais à Berlin, ami intime du colonel antinazi Oster. Le colonel Goethals, l'attaché belge, confirme : les allemands attaqueront dès le lendemain. Dans deux jours, indique un autre intervenant. Le roi met ses troupes en état d'alerte. Mais le haut commandement français maintient son analyse : du bluff.

Le 14 janvier, Hitler est encore décidé à attaquer le 17, encore que Keitel trouve que, « si l'ennemi est réellement en possession de tous les dossiers, la situation sera catastrophique ». Mais cette fois, côté ouest, ce sont les belges qui cafouillent. Au général Delvoie, attaché militaire belge à Paris, puis à Spaak qui téléphonent à Gamelin dans la nuit, le généralissime dit qu'il ne croît pas du tout à une attaque. Pourquoi ? « Il neige et l'aviation ne peut pas grand-chose ». Simplement, profitant de l'occasion, il indique à ses interlocuteurs que la Belgique serait beaucoup plus sage en appelant à son aide les troupes françaises avant toute attaque allemande. Il insiste même, encore que Georges n'en soit pas d'accord. Informé que les belges n'ont pas encore enlevés à la frontière les barrières qui bloquent l'accès du pays aux troupes françaises, Gamelin va jusqu'à alerter Daladier, lui demandant de mettre les dirigeants belges devant leurs responsabilités. C'est l'aube, Daladier donne aux belges vingt heures pour répondre. Hélas ! Le gouvernement belge délibère toute la journée et se refuse à prendre une décision qui, explique-t-il, provoquerait immanquablement une attaque allemande et ferait de la Belgique le premier champ de bataille. Il finit par absolument refuser tout appel aux forces françaises. Le haut commandement français est même avisé que, si un de ses soldats pénètre en Belgique, il sera immédiatement considéré comme ennemi. En vérité, on peut comprendre le désarroi des belges. Si Hitler attaque, et prend l'initiative, ils feront appel trop tard aux troupes françaises, qui pourront elles-même être trop bousculées. Si appel est fait aux troupes françaises avant toute attaque allemande, ils donnent à l'Allemagne un formidable prétexte pour intervenir ; on verra le violeur crier au viol.

Le 15 janvier, Les barrages belges face à l'armée française sont encore renforcés. Par bonheur, du moins pour l'immédiat, Hitler se résout à retarder de deux ou trois jours l'ordre d'attaque. Il s'est laissé convaincre que la Wehrmacht ne pouvait plus bénéficier de l'effet de surprise.

Le 16 janvier, Hitler retarde son ordre sine die.
Source : Le drôle de guerre de Arthur Conte aux éditions Plon 1999.
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#Posté le lundi 26 décembre 2005 09:05

Appel du 18 juin 1940.

Discours du général De Gaule Le 18 juin 1940
Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat. Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi. Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ?
Non ! Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des Etats-Unis. Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale.
Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Londres.
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#Posté le lundi 26 décembre 2005 02:27

proclamation de Léopold III le 10 mai 1940

PROCLAMATION DU ROI LEOPOLD LE 10 MAI 1940
Belges, pour la seconde fois en un quart de siècle, la Belgique loyale et neutre, est attaquée par l'Empire allemand, au mépris des engagements les plus solennels contractés à la face du monde. Le peuple belge, foncièrement pacifique, a tout fait pour l'éviter, mais, entre le sacrifice et le déshonneur, le Belge de 1940 n'hésite pas plus que celui de 1914.
En attendant la violation même du territoire pour rappeler nos deux garants restés fidèles à leurs promesses, nous avons, jusqu'à la dernière minute, rempli de la façon la plus loyale les devoirs de la neutralité. A notre vaillante armée, à nos courageux soldats, j'adresse le salut de la Patrie. En eux repose toute notre confiance. Dignes héritiers des héros de 1914, ils luttent, pied à pied, pour arrêter l'ennemi dans sa ruée à travers nos provinces, et pour limiter l'étendue du territoire national violé par l'envahisseur.
Grâce à l'effort consenti par le pays, notre force de résistance est infiniment plus grande qu'elle ne l'était en 1914.
La France et l'Angleterre nous ont promis leur concours. Déjà, leurs premières troupes s'ébranlent pour rejoindre les nôtres. La lutte sera dure. Les sacrifices et les privations seront considérables, mais nul ne peut douter du succès final. J'entends demeurer fidèle à mon serment constitutionnel de maintenir l'indépendance et l'intégrité du territoire. Comme mon père le fit en 1914, je me suis mis à la tête de notre armée, avec la même foi, avec la même conscience. La cause de la Belgique est pure. Avec l'aide de Dieu, elle triomphera.

"Léopold"

source: http://www.ecoles.cfwb.be/ipamnivelles/ttr2000/800/page27.html
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#Posté le dimanche 04 décembre 2005 08:07

protocole de capitulation du 28 mai 1940

PROTOCOLE DE CAPITULATION DU 28 MAI 1940
2. L'armée belge dans son ensemble dépose les armes immédiatement et sans conditions et est à considérer comme prisonnière.
En conséquence et à la requête du commandant de l'armée belge, l'armistice entre les troupes allemandes et belges est entré en vigueur le 28 mai 1940 à 5 heures (heure allemande) et à 4 heures (heure belge).
Ceci ne concerne pas les opérations allemandes contre les armées françaises et anglaises qui continuent à sa battre.
Pour éviter des erreurs, les troupes belges se feront reconnaître par des drapeaux blancs. Elles cessent immédiatement tout mouvement et attendront, en bordure des routes, les instructions ultérieures.

source: http://www.ecoles.cfwb.be/ipamnivelles/ttr2000/800/page32.html

PROTOCOLE-ANNEXE N°II AUX NEGOCIATIONS DU 28 MAI 1940
9. L'administration du territoire occupé actuellement par l'armée belge reste entre les mains des autorités belges et fonctionnera d'après les directives de l'administration militaire allemande jusqu'au règlement définitif de la question par le Gouvernement du Reich.
Les autorités civiles belges sont, jusqu'à nouvel ordre, pleinement responsables du calme et de l'ordre dans le pays.
Il y a lieu d'aviser les banques que la circulation fiduciaire doit être, sans retard, remise en mouvement dans tout le pays.
Les "Reichkreditkassenscheine" allemands ont cours au même titre, que le franc belge comme argent légal.
Cours: 1 reichsmark = 10 francs.

source: http://www.ecoles.cfwb.be/ipamnivelles/ttr2000/800/page31.html
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#Posté le dimanche 04 décembre 2005 08:03

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